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Catégorie : Invités
Invités de Frank-Cesar Lovisolo
Katerina Apostolopoulou et Christophe Rosenberg – J’ai vu Sisyphe heureux
L’Ode à Santorin, interprétée par Katerina Oikonomidi
Reading Time: 9 minutes ….O fille du plus haut de la colère
Nue jaillissante
Ouvre les portes de l’homme éclatantes
Que tout embaume la santé
Qu’en mille couleurs le sentiment refleurisse
Battant des ailes et s’ouvrant
Et de partout que la liberté souffle
Que resplendisse dans le sermon du vent
La beauté neuve et éternelle
Quand le soleil tout bleu de trois heures s’élève
Jouant l’harmonium de la Création.
Ode à Santorin ( extrait )
Odysséas Elytis (en grec Οδυσσέας Ελύτης) Suite – Continue reading
Daídalos avec Hervé Zénouda
Reading Time: 4 minutes Le fil conducteur de cette vidéo musiquée se situe en Crète où Dédale ( Daídalos ), un Athénien eut pour tâche de bâtir le plus célèbre des labyrinthes.
Si Dédale avait vécu à notre époque comment s’y serait-il pris pour construire un labyrinthe virtuel afin d’y dissimuler un monstre algorithmique ? Suite – Continue reading
HYPERCUBE : Hervé Zenouda – Frank Lovisolo
Reading Time: 4 minutes Cette vidéo d’art est la deuxième collaboration artistique entreprise avec Hervé Zénouda.
J’ai espéré, pour cette démarche artistique, une proposition picturale, une spagyrie des formes et de la couleur, avec, pour support, une mathématique qui permet de manipuler ces objets, aidant ainsi à dépasser notre capacité de conceptualisation.
À l’hypercube fractal en trois dimensions, il s’en est ajoutée, par l’animation, une quatrième: le temps.
Il ne s’agit plus, à proprement parler, d’un film ou d’une vidéo, mais d’un tableau qui évolue dans un univers pictural uniquement limité par la composition musicale.
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HELANCE : Hervé Zenouda – Frank Lovisolo
Reading Time: 3 minutes C’est la toute première collaboration artistique que j’ai entreprise avec Hervé Zénouda que je connais, maintenant, depuis une dizaine d’années.
On verra ici, la complicité de l’image numérique avec une musique acoustique, œuvre composée par Hervé pour un vibraphone, et interprétée par Raphaël Dumas.
Abstrait pour abstrait, allons de l’avant ! Un seul instrument: une couleur dominante.
Du bleu qui devra suivre les méandres musicaux, sur terre, sous terre , sur mer, sous mer, le tout subrepticement minimalisé.
Quelques minutes d’un ailleurs.
Juste ce qu’il reste des formes jouxtant autrement les notes sans ce suivi routinier peu profitable au propos artistique qu’il me fallait tenir ici.
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