Last Updated on 4 décembre 2022 by Frank César LOVISOLO
ouverture, ouverture, ouverture
L’Ouverture :Quand le son se fait nuit et la lumière silence,
Dans l’espace traversé de part en part,
En ôtant ce qui le rendait clos,
Tout qui ce fut n’est plus. Le néant règne sur l’immense.
Eux, dans l’encoignure, savent de quoi je parle. |
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L’ouverture sur l’ombre en reflet d’Elle – Partition pour :Contrebasse – Double Bass ● Violoncelle – Cellos ● Violons – Violins ● Clarinette Basse – Bass clarinet ● Cor Anglais – English horn ● Hautbois – Oboe ● Koto ● Xylophone ● Glokenspiel Percussions ( Classic and Ethnic ) ● Chœurs – Choirs ● Chœurs D’enfants – Boys choirs ● Effets et sampling – Samples and digital effects. |
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Sampling :Un échantillon (sample en anglais) est un extrait musical, ou son, réutilisé dans une nouvelle composition musicale, souvent joué en boucle. L’extrait original peut être une note, un motif musical ou sonore quelconque. Il peut être original ou réutilisé en dehors de son contexte d’origine. L’échantillonnage (sampling en anglais) peut être réalisé à l’aide d’un échantillonneur (sampler en anglais), qui peut être un équipement électronique ou un programme informatique sur ordinateur. Il est également possible d’échantillonner avec des boucles de bande magnétique sur une machine reel to reel. Les compositeurs de musiques concrète et électroacoustique et les pionniers de la musique électronique ont utilisé des méthodes semblables dès les années 1940-1950, mais l’échantillonnage tel qu’il est pratiqué dans les musiques actuelles est plus récent. L’origine de cet échantillonnage moderne est à chercher dans le dub jamaïcain, le rock expérimental allemand, et quelques « ovnis » musicaux. Parmi eux, le groupe new-yorkais Silver Apples, qui dès 1968 sort un premier album d’une electro-pop psychédélique, composé à l’aide d’une machine ancêtre du synthétiseur fabriquée par le groupe, avec notamment la présence de neuf oscillateurs, commandés à l’aide des mains, des pieds, des genoux… Le groupe génère des sons électroniques, rajoute des collages sonores en échantillonnant toute sorte de bruits (par exemple : radio ou circulation), le tout sur des rythmes tribaux, le résultat étant incroyablement avant-gardiste (écouter le titre Program). En Allemagne, l’influence du rock anglo-saxon était très présente à cette époque, mais quelques artistes allemands, en poussant leurs recherches musicales, allèrent plus loin et se mirent à incorporer des techniques de sampling dans leurs morceaux. À partir du début des années 1970, exploitant les technologies naissantes et expérimentant en studio (bandes passées à l’envers, échos et délais sur les rythmiques – s’inspirant directement des travaux des électroacousticiens des années 1950), des groupes comme Can ou Faust composaient des morceaux en intégrant des extraits sonores, ou carrément en construisant tout un titre autour d’un ou plusieurs samples, le tout étant réalisé sur bandes magnétiques. Parmi les collages musicaux enregistrés à cette époque, certains sont encore étonnamment modernes (voir Tago Mago de Can, The Faust Tapes de Faust). [Source] |
Sur ce titre, je t’imagine bien t’éclater aux percus et aux chœurs violents et puis diriger le reste des voix !…..
C’est quoi la percu avec des putains de grosses couilles qui vient te les poser sur la figure ?
Alouette ….
Ça barde !
Con los grandes cojones? Je pense qu’il s’agit des « Wagner Drums »….
« Wagner drums », ouah : du rich’art plutôt vach’art… Du vach’qui rit ? J’arrête, le Rhin déborde… La ballade à Roussillon, avec deux L, est plus guillerette,, hein !