Version définitive.
La première vidéo d’une série présentée sans bon ordre, nous pourrions en débattre…
Peut-être, le « III » suivra le « II » comme il se doit à moins que ce ne soit le « IV»… Mais plus tard.
Et comme dans le « II » : Courbes, ombres, lignes, couleurs, les objets du quotidien furent prétexte à cet exercice plastique.
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Musique de la vidéo:Composition basée sur l’enregistrement de mon environnement sonore traité «numériquement», ce terme trop souvent galvaudé est à la mode.
Certains, soucieux de perpétuer l’ignorance pour un pouvoir dérisoire, aimeraient se l’approprier en perpétuant un ésotérisme numéral !
Ce «numérique» n’est que bases de données dont on ne joue point d’un plectre, mais d’algorithmes joliment montrés.
Laissons-là les mystères «numériques» aux marchands, prêtres, politiques et leurs thuriféraires puis, derechef, tâchons de nous amuser.
Les objets d’une Nature Morte:La photographie et la vidéo servent un champ d’expérimentation qui se réapproprie ces objets pour mieux les détourner et leur donner une charge spirituelle et lyrique. Charles Sterling,historien de l’art français, en 1952, écrivait : Né à Varsovie le , il naît d’une famille juive aux ascendants écossais. Dès l’âge de 19 ans, il défend son pays, récemment indépendant, en participant à la guerre russo-polonaise à l’occasion de laquelle il est plusieurs fois décoré. Puis il obtient une licence en droit en 1924 et devient avocat. Il se tourne ensuite vers l’histoire de l’art en Allemagne, en Grande-Bretagne puis à Paris de 1925 à 1928, sous la direction de Gaston Brière à l’École du Louvre et en même temps à la Sorbonne en suivant les cours d’Henri Focillon. Il retourne de nouveau en Pologne où il rencontre un jeune homme qui est Louis Grodecki qu’il pousse à faire des études d’histoire de l’art à Paris. |
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La fin est sans fin, à ce qu’on dirait et à ce qu’on entend, comme le dernier sillon du disque fermé sur lui-même, bouclé. ça me rappelle quelqu’un, je ne sais plus qui (Cage ?). Comme le bruit de fond du cosmos. Le pouvoir infini du moulin à poivre pris dans la danse des astres. Désastre ? Chaos ? Le temps nous a !
Merci…