dédale
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Première strate :
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Deuxième strate :
Drone et voix synthétiques.
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Troisième strate :
Percussions : membranophones, métallophones et idiophones.
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Quatrième strate :
Musique concrète pour bruit de trains, de gare et crissements numériquement modifiés.
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titre Sacem : LE DEDALE DU PHOTOGRAPHE – ISWC : T-704.205.747.2 – ISRC : FR9W12040310
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C’est, comme toujours ici, une proposition d’écoute. Un voyage phonique dans un dédale de quelques minutes.
Un périple qui aura une issue certainement inattendue.
Sur le sujet, je ne vous en dirai pas plus. Laissons faire le plaisir, ou son contraire, de la découverte.
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J’en profite pour vous présenter trois dédales qui m’ont, assurément, inspiré. |
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Le Tintoret
L’allégorie de la vie humaine ou Le labyrinthe de l’amour.– Le labyrinthe est symbole du chemin intérieur que parcourt l’homme. La forme du labyrinthe rappelle l’île de Cythère, lieu de naissance de Vénus. Le centre représente le bien à atteindre. Seuls ceux qui emprunteront le parcours le plus long parviendront au but… |
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William Kurelek
The Maze – Le Labyrinthe 1953– William Kurelek est né près de Whitford dans la région du centre de l’Alberta en 1927, dernier d’une famille immigrée ukrainienne de sept enfants. Âgé d’un peu plus d’une vingtaine d’années, Kurelek s’installe en Angleterre. En 1952, souffrant d’une dépression et de problèmes d’ordre émotionnel, il est admis au Maudsley Hospital, un hôpital psychiatrique de Londres, et y est traité pour schizophrénie. Il peint alors The Maze. Le labyrinthe est l’œuvre la plus rencontrée de Kurelek. Cette oeuvre a été connue du grand public lorsqu’elle fut, partiellement, utilisée pour la couverture de l’album Fair Warning du groupe rock Van Halen en 1981.
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On s’y perdrait! 🙂
J’espère bien !!! 😀
Intéressant … belle réalisation technique
Merci Henri d’avoir pris le temps d’écouter depuis un autre dédale “mégalopolique” 😉 !!!!
Je suppose que les vents sont virtuels ? Tu me tues… =( =)
Oui !!!
Merci Hervé !