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à l’écoute :
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Pour faire court : avec le réchauffement climatique le niveau mondial de la mer s’élève.![]() Entre 1993 et 2017, le niveau de la mer a augmenté, en moyenne, de 3,1 ± 0,3 mm/an Pour le XXIe siècle, le GIEC prévoit que, dans le cas d’un scénario d’émissions de gaz à effet de serre très importantes, l’éventualité que le niveau de la mer puisse s’élever de 61 à 110 cm reste crédible. Une augmentation de deux mètres, due à l’effet domino de plusieurs facteurs environnementaux, demeure une théorie envisageable à partir de 2100. (wikipedia/Evation du niveau de la mer) Toutefois je reste positif: Les gens qui habiteront ma maison seront bien plus près de la plage et il existe des bottes en bottes en caoutchouc tout à fait élégantes! |
Tribulations, dystopiques, catastrophiques, jubilatoires et néanmoins toulonnaises
d’un réchauffement climatique annoncé.
Rappel historiquement édifiant quant aux climatosceptiques:
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– La terre se réchauffe, il fallait donner l’alerte. – Des scientifiques s’en chargèrent. – À l’image du volcanologue Haroun Tazieff en 1979 : « Il pourrait y avoir un effet de serre général, un réchauffement de 2 ou 3 degrés de la température de l’atmosphère, d’où fusion d’une énorme quantité de glace polaire, aussi bien au sud qu’au nord, et de glace de montagne. |
![]() Haroun Tazieff À cause du réchauffement, 2 ou 3 degrés suffisent. » Une parole visionnaire. (…)Chaque année, ou presque, c’est la même chose. Des alertes encore et encore sur le réchauffement climatique, désormais confirmée en 2024 par les observations de l’observatoire européen Copernicus. |
Revenons un instant à Cousteau et ces fameux correcteurs automatiques !
( Je trouve sa façon de répondre à Haroun Tazieff méprisante, grossière et empreinte de la palme (gag) de la bêtise. Plutôt bruyant l’auteur du Monde du Silence…) Article publié par publié le journal LIBERATION le 7 juillet 2015. Ne découvrons pas aujourd’hui que Cousteau massacrait les poissons en 1956
Si vous avez un peu traîné sur Internet ces derniers jours, et plus particulièrement sur le site de Là-bas si j’y suis (l’émission de Daniel Mermet, ex-France Inter), vous avez sans doute vu que le Monde du silence, le film de Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle, refait un peu parler de lui. En malle (humour). On peut même dire qu’il se fait méchamment allumer. Dans une (amusante) chronique intitulée «Le Monde du silence, un film naïvement dégueulasse», l’écrivain et cinéaste Gérard Mordillat se déchaîne contre le film palmé (haha) à Cannes en 1956, qu’il qualifie de «honteux et ignoble». Preuve à l’appui : tuerie de requins à coups de pelle, cachalot percuté ou tué par la Calypso (le bateau), etc. Soixante ans après la sortie du film, Mordillat, fort de sa conscience écologique (et moraliste) de 2015, s’interroge : «Comment on n’a pas vu ça à la sortie du film, pourquoi n’avoir pas compris que tous ces trucs d’abrutis, d’emmerder les poissons, c’était ignoble ? Quand on le revoit aujourd’hui, on se dit qu’on a été aveugle.» Et le site d’en rajouter une couche : «Personne n’avait rien vu ?» En fait, si. En 1995, déjà, Libé racontait comment Cousteau s’était forgé une image d’ami de la nature, un personnage gentil qui filme des animaux gentils, ce qu’il n’était pas. Cousteau était un homme de spectacle, rien d’autre.
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Un homme prêt à tout pour vendre ses films et ses livres, quitte à martyriser les animaux. On l’a écrit dans son portrait, publié en 1995, donc, par Marie-Dominique Lelièvre. Extraits :
«Aujourd’hui, lorsqu’on visionne le Monde du silence en compagnie d’enfants convenables, en âge d’être les arrière-petits-enfants du commandant, ceux-ci sont stupéfaits : « Gros sauvages ! Respectent pas les animaux. » La rhétorique écologiste a lavé les jeunes cervelles. |
L’équipage de la Calypso massacre une tribu de requins dans une scène à la Cronenberg, abat d’une balle dans la tête un bébé cachalot haché par les pales du navire, dynamite un jardin de coraux tandis que la caméra s’attarde sur l’agonie tragico-rigolote d’un diodon. Les marins chevauchent des tortues en tirant sur des cigarettes qui nuisent gravement à la santé. Les enfants de 1956 rêvaient, ceux de 1995 sont scandalisés.
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Autres Articles :
Se distanciant péniblement de Descartes et son « animal-machine », l’animal humain n’en reste pas moins imbu de son essence supérieure, d’ordre divin bien souvent. C’est peut-être bien cette part de lui-même qu’il combat à mort chez le toro des corridas.
…De la dynamite pour recenser les poissons Sur la voix enjouée du commandant qui déclare: Ils sont alors ramenés sur la plage par les plongeurs. La caméra s’attarde sur la pathétique agonie d’un diodon qui se vide de son eau avant de mourir doucement, les branchies à l’air. Cousteau poursuit « Nous devons inévitablement faire quelques dégâts » et on voit un plongeur donner des coups de marteau dans un corail pour en recueillir des morceaux…»
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Ouille ! ! ! ! ! ouille ouille ! ! ! ! ! ! ! !
Super boulot gamin !
ça ne m’étonne pas de toi ! ! !
YES ! ! ! re Yes ! et rata Yes ! ! ! ! !
J’espère que ton mix sonne et va bien ! ! ! !
(sinon, vers quelle réverb me dirigerais tu, pour une utilisation courante, simple, rapide, qui sonne quand même ? hein ! ! !)
MERCI BOUCOU !!!
Merci Jean-Claude…
Réponse réverbérante en MP !!!
@Bientôt
Etonant, pas très drôle mais superbe.
Un peu drôle, c’est déjà ça…
Merci Pierre !
Merci de ta piqûre rappel ! Un autre fléau à nos portes, l’I.A. qui, déjà, envoie à la poubelle notre enthousiasme, notre partage, nos pas à pas de la langue parlée et écrite. Chacun pour soi, amen.
… En tout cas aucune I.A. dans les textes qui ne sont pas, pour la plupart, de ma plume !
Quant aux images, toutes les bases photographiques sont réelles. Ensuite, je fais ma cuisine, mais la recette et ses épices resteront secrètes !
Alléluia, Amen et tout le kit !
Bien tout ça ! Cousteau-Tazief : édifiant ! La suffisance de Cousteau, ce gringalet bluffeur… N’empêche, ainsi que tu le prouves fort bien en images, tu vas devoir déménager fissa ! 😉
Bof, la plage sera plus proche et, si j’arrive à matriser l’art de la palangre et de la nasse, la pitance sera assurée… Le barbecue est au sec et avec tout ce bois flotté…
Merci Gérard !!!