Catégorie : Images et Photographies
«La photographie est une découverte merveilleuse, une science qui occupe les intelligences les plus élevées, un art qui aiguise les esprits les plus sagaces et dont l’application est à la portée du dernier des imbéciles. Cet art prodigieux qui de rien fait quelque chose, cette invention miraculeuse après laquelle on peut tout croire, ce problème impossible dont les savants qui le résolvent depuis quelques vingt années en sont encore à chercher le mot, cette photographie qui avec l’électricité appliquée et le chloroforme, fait de notre XIX ème siècle.
Napoli : La luce dei contrasti
Pline, Herculanum et Pompéi
La Solfatare: soufre, arsenic et vieilles dentelles
35° Entre Cantal et Lozère – Photographies solaires en Noir et Blanc
L’Orage et la lettre d’Épicure à Pythoclès
Une preuve d’évolution – Chapitre 2 à Épicure
Reading Time: 8 minutesJe me demandais, l’œil dans le viseur, quels dieux auraient eu le temps, occupés jour et nuit à infecter l’existence des hommes, de s’employer à l’architecture de ce qui est présenté plus bas, à moins que ceux-ci, comme le soutenait Epicure, n’interviennent en aucun cas dans leur vie. Lucrèce reprendra ce postulat (De rerum natura), et bien plus tard, vous excuserez le raccourci, par Nietzsche (L’Antéchrist).
Atchoum !!! J’éternue haut et fort comme il se doit dans la nature… Quelques pollens espiègles me firent sûrement une niche.
« Athée souhait ! » entendis-je au loin… Mon imagination fantaisiste sans doute ! Suite – Continue reading
Arts Picts 3
Reading Time: < 1 minute Suite – Continue reading
Une preuve d’évolution – Chapitre 1 à Darwin
Ritratti a Venezia – Photographies canalisées
Reading Time: 6 minutesDifficile d’évoquer le « Street Art » à Venise. Peut-être devrait-on, ici, parler de « Channel Art » !
Tout aussi difficile : s’éloigner du tourisme de masse tant les gondoles sont devenues poliment asiatiques !
Tout autant ardu, il est préférable d’éviter la photographie purement touristique, l’œil est happé par cette profusion architecturale. Notamment au premier voyage il est difficile de s’en défaire. Mais, le doit-on vraiment ?
Il est si commode de s’égarer d’une venelle à l’autre, poursuivant l’onde d’un canal, le sillage d’un esquif, ou la silhouette d’un palais, que l’on négligerait, si l’on y prenait gare, les habitants…
Portraits… ( Quelques visiteurs ont dû, subrepticement, parmi eux, se glisser ) Suite – Continue reading