à l’écoute : Vulcano |
Tout comme à il volcano solfatara près de Naples, ce qui surprend, quand on arrive, c’est l’odeur de soufre.
A Naples nous sommes dans un cratère volcanique, ici nous sommes sur le port.
Il y a, à quelques mètres, des fumerolles.
Aucun doute, nous sommes bien sur un volcan actif.
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Le Port Le Volcan — Les Cristaux de Soufre — Le Film – Les Fleurs , Maupassant Pour Finir |
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Le port soufreurSL: Diaporama ON/OFF — FS : Plein écran (Full Screen) .. |
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Isola di Vulcano– Trente nœuds à l’heure ! c’est la vitesse nympho-maniaque à laquelle nous conduit l’Hydroglisseur de Stromboli à Vulcano (60 km). Arrivée à Vulcano, comme énoncé plus haut, l’odeur donne le ton et la couleur des roches le tempo. Nul doute, il y a du soufre ici, ce n’est pas désagréable et plutôt exotique… Le port est simple, un grand hôtel, quelques tavernes et surtout le restaurant « La Forgia di Maurizio » et ses succulentes pasta con le sarde… L’endroit est incontournable et je conseille vivement au voyageur une halte réparatrice ! Le restaurant se trouve 45 Strada Provinciale. On y mange vraiment bien pour une somme plus qu’honnête, le patron est sympathique, drôle, parle le français et n’est pas avare d’explications quant à la composition de ses plats. Certains restaurants de Toulon, qui se prétendent Italiens, devraient pour la gastronomie, le vin, le tarif et l’accueil y faire un stage ! Amateurs de recettes insipides et normalisées des multinationales crasseuses passez votre chemin, ici on mange et l’on boit Sicilien un vrai bonheur pour les épicuriens ! Notre chambre est située dans un charmant B &B La Casa Arcada situé au pied du volcan à quelque pas d’une coulée de lave bien noire comme je les aime! Nous sommes là pour ça: entendre du fond du lit ronronner la montagne et s’assoupir avec elle. Le matin, depuis la terrasse où nous prenons le petit déjeuner, nous pouvons admirer les fumerolles dans le soleil levant.
Le Vulcano était en plus intense activité quand Guy de Maupassant en 1885 l’a visité(1). Hélas, l’activité géologique actuelle se limite à l’émission de fumerolles bien chaudes sur le pourtour du Volcan, près du port et sur la plage où des sources hydrothermales soufrées sourdent sous la mer à gros bouillons.
Il existe aussi des mares de boues sulfureuses où l’on peut prendre des bains thérapeutiques qui assurent, pour Halloween, un déguisement d’escalope panée « zombifiée ».
Tout parait calme ici…
Prudence, l’animal dragon n’est qu’en sommeil. Il fait l’objet d’une surveillance continue visuelle, sismique et chimique par l’observatoire italien « Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia ». Le volcan n’a aucun désir de nuire et encore moins de colère. Je déteste cette image infantile du volcan en colère et autres sottises diaboliques. Contrairement aux humains, les volcans ne tuent pas pour une politique agressive, une religion mortifère, pour de l’argent et toutes les perversions humaines que l’on puisse imaginer sans oublier les conducteurs d’automobiles débordants de testostérone. Les éruptions volcaniques qui fertilisent la terre ont pourtant nourri plus d’êtres vivants que toute l’industrie chimique des engrais serait capable de faire : Monsento. Comparé à eux, avec vos agrochimies minables, putrides et destructives, vous n’êtes que de pitoyables risibles. En outre, ils ont indubitablement, il y a des myriades et des myriades de millénaires, contribué à l’apparition de la vie sur terre, pas si mal pour des montagnes que l’on dit assassines, irascibles ! Les volcans sont les réminiscences énergétiques de la formation de la terre et de sa jeunesse enflammée dans un univers plus que tumultueusement créatif ! C’est vrai que leurs manifestations sont parfois d’une violence inouïe : les Trapps de Sibérie témoignent des activités volcaniques extrêmes.
Rien de tel qu’un petit rappel historique pour se mettre en confiance! |
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Ouste, du nerf ! C’est parti pour la visite de « la Fossa » nom local du cratère principal. …
Miracle, pas de guide ! Vitesse de croisière parfaite, température idoine au bien-être à l’aller et un peu plus chaud au retour avec de jolis petits coups de soleil sur les bras et le visage, histoire de fêter le retour des beaux jours…
Bref, l’ascension idéale : dix pas une photo, onze pas « oh ! le beau caillou ! » douze pas et je m’extasie devant un lézard, une fleur, m’interroge longuement sur un insecte qui est en fait une megascolia maculata et disserte à brûle-pourpoint sur l’érosion pluviale qui sculpte de somptueux canyons miniatures dans la roche volcanique, un régal pour les yeux. Là, je suis dans mon élément !
Certes nous ne sommes pas les seuls touristes, mais, ici, tout est très calme.
L’ataraxie, la sérénité, l’imperturbabilité, peu importe le nom, c’est peut-être ici que l’on pourrait trouver à vivre cette philosophie.
Il y a, sur le chemin, un groupe d’adolescents Italiens qui, certainement d’un lycée ou d’un collège, viennent parcourir le volcan. Nous les dépassons et les laissons plus bas écouter un professeur leur donner un cours d’initiation à la vulcanologie, j’ai glané ci et là quelques mots en italien m’assurant ainsi du sujet abordé. Je trouve l’initiative heureuse, elle leur laissera, sans nul doute, un superbe souvenir volcanique et qui sait biologique.
C’est bien que les jeunes gens apprennent les sciences naturelles, c’est vraiment important de comprendre notre terre pour pouvoir protéger et la respecter, surtout qu’ils sont eux aussi en proie à un phénomène tout aussi naturel et volcanique, mais nous en reparlerons.
Les couleurs… Il y a une diversité de roches aux teintes en dégradés extraordinaires; du blanc au noir en passant par toutes les nuances de rouge, ocre, brun, jaune, du vert et des reflets métalliques bleus… La minéralogie active a donné des couleurs que l’on retrouve un peu à Roussillon en Provence. Mais les couleurs ici se créent à un rythme géologique accéléré au gré des soubresauts telluriques. L’ascension prend, environ une heure et trente minutes, elle est beaucoup plus confortable que celle du Stromboli. Je dois avouer que je préfère cette promenade sans le guide ni les autres randonneurs aux motivations hétérogènes et tant pis si je passe pour une espèce de plantigrade grognon.
À la fin la pente se fait plus raide. Il reste encore quelques mètres à parcourir avant le spectacle…
La Fossa… Environ deux cents mètres de profondeur. C’est beau.
Je pourrai rester là des heures à regarder l’édifice naturel, même si les gaz, un peu irritants, viennent de temps à autre troubler ma quiétude. .
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Le volcan en couleurSL: Diaporama ON/OFF — FS : Plein écran (Full Screen) .. |
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Au cours des derniers siècles, l’essentiel de l’activité volcanique a été concentré dans le cratère nommé « la Fossa ». Un cycle éruptif a commencé en 1727 et en 1739 il a émis des coulées de laves rhyolitiques. Ce fut la dernière activité effusive du Vulcano. Pendant les 150 ans qui suivirent, il y eut une activité explosive sporadique, aboutissant à la dernière grande du volcan (du 2 août, 1888 au 22 mars 1890). C’est cette éruption particulière qui a décidé de l’emploi, en vulcanologie, du terme « Eruption Vulcanienne« . On associe à ce type d’activité des explosions très violentes qui génèrent un énorme panache de cendres en forme de pin parasol. Les bombes en croûte de pain sont caractéristiques de ce dynamisme. Que penser de toutes ces émanations toxiques… Quand je regarde le bateau partir du port avec son joli nuage de fumée et son cortège de particules fines, je crois que je vais pouvoir respirer encore quelques fumerolles sans inquiétude! Je vais cependant éviter soigneusement l’arrière du bateau. Il serait souhaitable que les responsables de l’île suggèrent aux compagnies maritimes de décrasser et régler leurs esquifs. Un peu plus loin se trouvent les fumerolles sulfurées. Il y a des cavités où par sublimation inverse (ou condensation solide) des cristaux croissent inlassablement. (La sublimation, en physique, est le passage direct d’un corps de l’état solide à l’état gazeux). J’observe un ventripotent, transpirant et avançant à grand-peine sur le volcan s’aidant de bâtons de marche qui ploient sous sa masse. Il observe les fumerolles un instant et, avec sa canne pointue, se met à détruire systématiquement un joli groupe de cristaux afin d’en «étudier» la résilience. L’imbécile, l’ignorant, le cuistre, venir ici uniquement pour anéantir ce que la nature nous offre, c’est affligeant et désespérant. J’aurai bien balancé le bélître par-dessus bord afin qu’il laisse quelques cristaux à ceux qui sont venus là pour s’en enthousiasmer, mais il parait que ce n’est pas permis. J’ai déjà observé ce comportement de ganache au Vulcanelli di Macalube et au Volcano Solfatara. Je conseillerai sans vergogne à ces demeurés de consulter un psychiatre voire un exorciste pour les cas les plus indécrottables!!!
Je reste là, un moment, tandis que l’énergumène s’éloigne en suffoquant et glaviotant dans l’haleine fuligineuse du cratère qui cherche itou à s’en débarrasser. C’est à ce moment qu’arrive le groupe d’étudiants croisés plus bas sur le sentier.
Voilà une scène bien plus rafraîchissante. Les jeunes gens se montrent attentifs et très respectueux du lieu toutefois, si l’on est un peu vigilant, on devine que mêmement la découverte géobiologique motive l’exploration des merveilles géologiques! Effectivement, les ourlets des T-shirts et shorts des filles se sont considérablement raccourcis avec l’altitude, ce qui ne laisse pas les garçons torse nu indifférents! Je suis certain que le cours de S.V.T. sera exhaustif, parachevé d’ardents travaux pratiques. Visiblement, les fumerolles font bon ménage avec les phéromones!
Le groupe très Italien s’éloigne permettant au silence de reconquérir le site. Par bonheur les autres touristes sont loin: je vais pouvoir tranquillement m’asphyxier photographiquement dans la brumaille joyeusement toxique!
Une fois de plus c’est beau.
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Les Cristaux de Soufre-couleurSL: Diaporama ON/OFF — FS : Plein écran (Full Screen) .. |
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Sans machine le volcan « sculpte » des paysages tourmentés, des plantes minérales, des objets insolites et un bestiaire fantasmagorique. Il y a un univers fascinant pour celui qui veut bien le voir et supporte un tant soit peu les fumerolles toxiques du volcan. Si possible, la prochaine fois, je me dégote un masque à gaz ! Dans un article précédent, j’avais déjà publié des photos à ce sujet (il volcano solfatara). Le soufre fondu ressemble à de l’ambre ou à de la résine de conifère, ci et là il y a des gouttelettes orangées, de jolies perles qui contrastent sur les roches grises.
La cristallisation ici semble faire son spectacle. C’est une féerie de molécules de soufre, filles des étoiles, qui semblent être dans un bal intime de l’univers. Les cristaux se développent comme s’ils voulaient faire une niche à la gravité, se jouant d’elle portés par les exhalaisons vulcaniennes.
Ils se développent en fractales fantastiques à l’image de feuilles de fougère suivant un schéma orthorhombique ou monoclinique. C’est un spectacle hallucinant, hypnotique où l’on oublie presque le danger des fumerolles composées d’acide sulfurique (vitriol*), de dioxyde de soufre, de dioxyde de carbone et de vapeur d’eau (composition non exhaustive)… La couleur du soufre est dépendante de sa température. À 110° sa couleur est jaune et à 200° il devient rouge ensuite il vire au brun. C’est un nuancier extraordinaire et je sais que, malgré mes efforts, la photographie aura du mal à relater la réalité.
Il y a de l’eau… Le volcan transpire et on peut apercevoir des gouttelettes parmi les cristaux. Il y a certainement des gouttes d’acide sulfurique miscible à l’eau.
Je pourrai rester là des jours à visiter toute cette sublime perspective, en cartographier et en photographier tous les moindres recoins. Je reste à photographier longuement puis une petite gêne respiratoire me dit qu’il vaut mieux battre en retraite! Inutile de s’asphyxier le voyage n’est pas encore terminé, il nous reste Lipari l’île de la pierre ponce est des obsidiennes à visiter…
Bientôt, nous amorcerons cette descente qui mènera chez MAURIZIO et où j’espère déguster un poisson pêché le matin même. –
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*Le Vitriol si cher aux alchimistes avec son sens caché : V.I.T.R.I.O.L – Visita Interiora Terrae Rectificando Inventes Occultum Lapidem que l’on peut traduire par Visite l’intérieur de la terre et, en rectifiant, tu trouveras la Pierre cachée.
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Les fleurs du Volcan parmi lesquelles se sont glissés un Podarcis siculus ainsi qu’une Megascolia maculata.SL: Diaporama ON/OFF — FS : Plein écran (Full Screen) .. |
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C’est un fait, les volcans sont fertiles. A chaque visite je suis émerveillé par l’abondante végétation.…
Que ce soit sur l’Etna, le Vésuve, le Stromboli, Lipari et Vulcano, il y a une diversité végétale extraordinaire. Le printemps nous offre les fleurs et sur le volcan. La terre est riche en minéraux, ce qui les rend particulièrement éclatantes.
Une plante domine toutefois cette biodiversité : les Genêts.
Très robuste, ils peuvent pousser sur les flancs du volcan, un environnement difficile.
Leurs racines puissantes se faufilent bans les anfractuosités à la recherche de nutriments et contribuent à fertiliser le sol volcanique.
En effet ses racines ont des nodosités qui permettent d’enrichir le sol par fixation biologique de l’azote.
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Le FilmEn 1949, l’île sert de décor au film du même nom, Vulcano, du réalisateur William Dieterle, avec l’actrice italienne Anna Magnani dans le rôle principal. Un film étonnant car il ressemble à Stromboli (de R. Rossellini) sorti peu de temps avant…. Le filon cinématographique des îles Eolienne à exploiter : Sromboli versus Vulcano !!!! Madalena rentre dans son île natale, à Vulcano. Elle a mauvaise réputation car elle sort de prison. Sa sœur est la seule à bien l’accueillir mais une violente rivalité éclate entre elles deux lorsqu’un homme louche arrive… |
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La Sicile (1890) Quatrième chapitre de La vie errante Guy de Maupassant (1850-1893)Maupassant raconte son ascension de Vulcano en 1885 (à un moment où le volcan était plus actif qu’il ne l’est aujourd’hui). … je loue une barque pour aller visiter Volcano. C’est un îlot sauvage, dont le sommet atteint environ quatre cents mètres et dont la surface est d’environ vingt kilomètres carrés. On contourne, avant de l’atteindre, un autre îlot, le Volcanello, qui sortit brusquement de la mer vers l’an 200 avant J.-C. et qu’une étroite langue de terre, balayée par les vagues aux jours de tempête, unit à son frère aîné. Nous voici au fond d’une baie plate, en face du cratère qui fume. À son pied, une maison habitée par un Anglais qui dort, paraît-il, en ce moment, sans quoi je ne pourrais gravir le volcan que cet industriel exploite ; mais il dort, et je traverse un grand jardin potager, puis quelques vignes, propriété de l’Anglais, puis un vrai bois de genêts d’Espagne en fleur. On dirait une immense écharpe jaune, enroulée autour du cône pointu, dont la tête aussi est jaune, d’un jaune aveuglant sous l’éclatant soleil. Et je commence à monter par un étroit sentier qui serpente dans la cendre et dans la lave, va, vient et revient, escarpé, glissant et dur. Parfois, comme on voit en Suisse des torrents tomber des sommets, on aperçoit une immobile cascade de soufre qui s’est épanchée par une crevasse. On dirait des ruisseaux de féerie, de la lumière figée, des coulées de soleil. J’avance avec crainte sur la cendre chaude et la lave jusqu’au bord du grand cratère. Rien de plus surprenant ne peut frapper l’œil humain. On descend, le long des parois de cet abîme, et on se promène jusqu’au bord des bouches furieuses du volcan. Tout est jaune autour de moi, sous mes pieds et sur moi, d’un jaune aveuglant, d’un jaune affolant. Tout est jaune : le sol, les hautes murailles et le ciel lui-même. Le soleil jaune verse dans ce gouffre mugissant sa lumière ardente, que la chaleur de cette cuve de soufre rend douloureuse comme une brûlure. Et l’on voit bouillir le liquide jaune qui coule, on voit fleurir d’étranges cristaux, mousser des acides éclatants et bizarres au bord des lèvres rouges des foyers. L’Anglais qui dort au pied du mont cueille, exploite et vend ces acides, ces liquides, tout ce que vomit le cratère ; car tout cela, paraît-il, vaut de l’argent, beaucoup d’argent. |
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Pour mémoire je donne ici quelques événements volcaniques remarquables: |
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les Fumerolles de Vulcano
Musique: Il Volcano Solfatare
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James StevensonC’est vers 1860 qu’un Écossais du nommé James Stevenson acheta a acheté le Nord l’île pour y développer l’industrie du soufre. Il comptait extraire de l’alun, du soufre et de l’acide borique. Pour ce faire, il améliora les installations existantes et les moyens d’acheminement.
Il construisit une villa et planta des vignes pour une future exploitation vinicole. En 1888 une éruption arrêta l’exploitation tuant les mineurs. Pendant cette éruption qui dura près de deux ans, Stevenson vendit tous ses biens à la population locale et ne revint jamais sur l’île. Sa villa est toujours là…
James Stevenson était un homme de culture. Né en 1903 au pays de Galles il a vécu en 1822 à Haille.
Ses nombreux intérêts l’ont amené à s’expérimenter dans différents domaines : chimie, navigation fluviale et la science en général. Il était en charge d’une Chaire de sciences naturelles au Collège de l’Église libre de Glasgow.
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Chemin d’accès au Cratère |
Isola di Vulcano – Géographie |
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Pays
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Archipel
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Localisation
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Coordonnées
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Superficie
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21 km2
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Point culminant
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Vulcano (499 m)
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Géologie
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Île volcanique
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Type
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Activité
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Actif
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Dernière éruption
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–
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Code GVP
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Observatoire
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Région
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Province
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Commune
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Population
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715 hab. (2001)
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Densité
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34,05 hab./km2
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Plus grande ville
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Autres informations – (Source Wikipédia)
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Eh ben, on saura tout ; manque les odeurs, le souffre, le diesel soufré du rafiot-fusée, et les fleurs, encore heureux !
De quoi raviver mes souvenirs d’il y a une vingtaine d’années ; l’époque était tout de même moins « speedée » et on arrivait aux îles en pouet-pouet et au grand air.
Merci pour ce voyage partagé !
Je regrette le « pouet-pouet » ! Merci Gérard!
c’est rudement Beau, merci !
Un lieu rudement magnifique même ! 🙂
Grazie Frank per il bel racconto sul tuo blog. TripAdvisor ti inviera’ una richiesta di recensione, ( ripeti quello che hai scritto nel blog ). Spero di riaverti presto nel mio locale, cordiali saluti, Maurizio.
Grazie Maurizio !
C’est beau ! On ne se lasse pas de revoir et relire. Merci pour ce voyage.
A relire sans vergogne 🙂 !!!