Last Updated on 8 septembre 2023 by Frank César LOVISOLO
Suite à la projection du film «Les danseurs du chemin des dames»
Au musée Jean Aicard – Paulin Bertrand du 25 février au 2 mars 2019
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Le métier de photographe militaire pendant la Grande Guerre
Un texte d’ Héléne Guillot
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https://journals.openedition.org/rha/ | |
Résumé : Le port et l’usage de l’appareil photographique est réglementé dès 1914 dans la zone des armées et il est, officiellement, impossible de s’improviser photographe sans autorisation. Pourtant lorsqu’en 1915, il est question de créer une section photographique de l’armée (SPA), la composition de l’équipe des photographes, non qu’elle soit secondaire, semble alors symboliser à ce moment une tâche et un savoir-faire entièrement réservés aux professionnels des maisons photographiques civiles. Rapidement, l’équipe évolue et la SPA s’y implique et s’y impose de plus en plus en exigeant notamment que les photographes soient tous militaires. Cet article propose de revenir sur leur recrutement, leur formation au sein de la SPA, leurs contraintes matérielles et techniques et enfin le déroulement type de leur mission. Tous ces éléments mettent en valeur le métier de reporter militaire et l’effort collectif d’une équipe de techniciens professionnels dans une logique de propagande patriotique. Certes, ce patriotisme créé la SPA, mais les intérêts patrimoniaux du sous-secrétariat des Beaux-arts la projettent dans le long terme. |
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Hélène Guillot, « Le métier de photographe militaire pendant la Grande Guerre », Revue historique des armées [En ligne], 265 | 2011,
mis en ligne le 16 novembre 2011, consulté le 09 mars 2019.
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Télécharger le PDF : https://journals.openedition.org/rha/pdf/7356
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AuteurHélène GuillotChargée des fonds modernes au département de l’armée de Terre du Service historique de la Défense, elle a été chef du département documentation du pôle archives de l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense de 2003 à 2008. Elle est actuellement doctorante à l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne, sous la direction de Myriam Tsikounas, son sujet traite de la photographie officielle pendant la Grande Guerre. Elle a publié un article sur ce sujet dans le no 258 (1/2010) de la Revue historique des armées. Articles du même auteur
© Revue historique des armées |
Alouette…..
Elle a quand même un faux air de « Nicole Croisille »…..la fille du « Sortilège du photographe…. »
Mais ça ne change rien au fait que, comme je ne l’ai pas entendu depuis longtemps, il y a un batteur, (même si il est en plastique – « virtuel »), fait bien l’affaire……
L’ensemble de l’œuvre, d’ailleurs, fait bien son truc……. malgré certains (tous ?), choix d’harmonies et de notes capillo tractées, en apparence…..sont très très judicieux, correspondent brillamment aux messages des images des artistes en question….. Strike !
Envisages tu une saison technico musicale, ou bien ?
Alouette…..
Elle a quand même un faux air de « Nicole Croisille »…..la fille du « Sortilège du photographe…. »
Mais ça ne change rien au fait que, comme je ne l’ai pas entendu depuis longtemps, il y a un batteur, (même si il est en plastique – « virtuel »), fait bien l’affaire……
L’ensemble de l’œuvre, d’ailleurs, fait bien son truc……. malgré certains (tous ?), choix d’harmonies et de notes capillo tractées, en apparence…..sont très très judicieux, correspondent brillamment aux messages des images des artistes en question….. Strike !
Envisages tu une saison technico musicale, ou bien ?
Je ne sais pas vraiment à quoi ressemble la fameuse Nicole… J’ai dû me servir de Google ! Quant au reste, j’aimerai bien que soit un vrai batteur, mais techniquement ça me poserait trop de problèmes et puis tu sais bien que pour trouver un batteur qui jouerait avec la musique et non le contraire ça devient plus difficile encore ! Bref, ceci me ralentirait trop !
Merci d’être passé et surtout d’avoir écouté !
@ bientôt !