Philippe jeay Bugle |
Composition pour : Echantillons ( Basse et bugle) Piano, Timbales, Ensemble chromatique d’Enclumes d’orchestre Plaques de fer, crotale et Waterphone.
Bugle*** : Philippe Jeay
Score for : Samples ( Double Bass and flugelhorn* ), Piano, Timpani, chromatic set of tuned anvils, Steel Plate, Crotales, Waterphone.
Philippe Jeay played flugelhorn for recording samples…
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Le Waterphone… est un instrument de musique faisant partie de la famille des instruments à friction. Inventé à la fin des années soixante par Richard A. Waters, il se présente sous la forme d’un réservoir arrondi en acier inoxydable et souvent plat (mais pouvant revêtir différentes formes), auquel est relié un tube. Sur le pourtour du réservoir, des tiges en bronze de différentes tailles sont fixées. On peut introduire une petite quantité d’eau dans le tube, ce qui provoque des échos et des variations de hauteur lors du jeu, produisant un son parfois comparé au chant des baleines et autres cétacés. Source [Wikipédia] et http://www.richardawaters.com/instruments.php |
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Le bugle (en allemand « Flügelhorn » et par extension « flugelhorn » en anglais) est un instrument de musique de la famille des cuivres, plus exactement des saxhorns mis au point par Adolphe Sax au XIXe siècle. Le modèle courant est celui en si{\displaystyle \flat }. Il a théoriquement le même registre que la trompette en si{\displaystyle \flat } et demande l’application des mêmes doigtés. Sa perce conique, caractéristique des saxhorns, rend l’accès au registre aigu difficile, et le classe dans les « cuivres doux ». Cette conicité lui donne une réponse rapide et surtout un son très doux et très « rond ». On retrouve cet instrument dans les brass-bands, les harmonies et les fanfares où il est utilisé pour ses qualités sonores dans le grave et le médium. Parfois, mais aujourd’hui de plus en plus rarement, un « petit bugle » en mi{\displaystyle \flat } est utilisé pour des parties aiguës en fanfare ou en harmonie. Florent Schmitt, par exemple, l’emploie dans ses Dionysiaques. Le bugle est très rarement utilisé dans l’orchestre classique. On le trouve dans le solo de bugle de Threni d’Igor Stravinsky, dans la 9e symphonie de Vaughan Williams et dans les symphonies no 3 et no 4 de Villa-Lobos (dans les fanfares). Il est aussi utilisé en substitution dans la Symphonie nº 3 de Mahler, mais est souvent joué au cor de postillon (le bugle à palettes allemand ressemblant très fortement au cor de postillon). On le trouve aussi dans Les Pins de Rome et Les Fêtes romaines de Respighi, lorsque l’orchestre ne dispose pas de buccin. Charles Koechlin aussi l’emploie dans certaines de ses œuvres orchestrales : il y a par exemple un bugle en si Le répertoire concertant fait peu à peu son apparition, citons Aroutiounian et son Élégie pour bugle et orchestre à cordes ou encore William-Himes et le Concertino pour bugle et brass band. En musique de chambre, c’est en général dans le quintette de cuivres que le bugle fait son apparition (les trompettistes jouant de l’instrument) ; on peut aussi noter une Sonate pour cornet et piano de Maurice Emmanuel, qui peut être jouée au bugle. Joe Bishop, en tant que membre du groupe Woody Herman en 1936, a été l’un des premiers musiciens de jazz à utiliser le bugle. Shorty Rogers et Kenny Baker ont commencé à le jouer au début des années cinquante, et Clark Terry l’a utilisé dans l’orchestre de Duke Ellington au milieu des années 1950. Chet Baker a enregistré plusieurs albums sur l’instrument dans les années 1950 et 1960. Miles Davis a encore popularisé l’instrument dans le jazz sur les albums Miles Ahead et Sketches of Spain (tous deux arrangés par Gil Evans ) bien qu’il ne l’ait pas beaucoup utilisé sur des projets ultérieurs. |
( from Facebook )
une oeuvre magnifique,chaque note est là où elle doit etre. Bravo!!
ps: ..you are incredible brother!!!