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Titre Sacem : Le photographe dans le Val sans Retour
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titre Sacem : LE VAL SANS RETOUR – ISWC : T-301.179.029.3 – ISRC : FR9W12040311
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Composition pour:–
Contrebasse, piano, clarinette, saxophone soprano, batterie, drones d’une guitare jouée à l’archet électronique ainsi que les harmoniques d’un alto.
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Au début, dans le Val sans Retour, il y a un peu de vent, il y fait frisquet, mais c’est la saison ! |
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à Hélène, pour une complicité photographique …– Composition pour une série écarlate, à ce jour, en cours de parachèvement, avec laquelle je vais avoir l’outrecuidance de transposer le Val sans Retour sur la côte méditerranéenne. De l’audace, toujours de l’audace ! Certes, mais, je connais bien l’attachement de la fée à sa terre natale et pour ce sacrilège il demeure fort probable qu’elle me séquestre en ce lieu pour l’éternité, justifiant ainsi le titre de cette courtoise composition ! Toutefois, car j’aime les parenthèses, je me souviens, pendant mes quelques mois de navigation dans la marine marchande, les matelots, majoritairement bretons, affublaient la mer où je suis né de l’inénarrable diminutif de « lac » et même de « mare ». J’en étais fort courroucé ! Ma riposte, cependant, restait toujours exempte de turlupinade : Un « Oui, mais quand on y sera, on va bien se marée ! » était une de mes flèches promptes à être décochées !
Le finissage de la blague s’accomplissait souvent avec quelques mousses bien fraîches renforcées de grandes tapes dans le dos à vous dessouder le safran !
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Si fait, je vous kidnappe, un temps, Val, Lac et Fée (aïe !) pour mon bon plaisir !
Voilà bien ma petite revanche sur la « mare Méditerranée ».
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Le Val sans RetourC’est en forêt de Paimpont-Brocéliande, que se situe selon la légende le fameux Val et, à la fin d’un sentier, se trouve le Miroir aux Fées, un lac utile à mon propos.
Lorsqu’on y parvient, après un parcours dans ce labyrinthe symbolique où le destin semble ne plus se maitriser, la réalité fait place aux mythes propices à l’imaginaire du photographe qui n’y est jamais allé !
De tout ceci, je vous en reparlerai quand cette suite d’images teintées de cinabre sera, enfin, maitrisée…
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Bon, ce n’est pas tout, je vous laisse avec la musique. Je ne sais pas trop ce que je dois faire.
Soit, je reste, au Val sans Retour, à faire du Land Art, je ne serai pas le premier*, soit je cherche une sortie.
C’est ce « sans retour » qui pose un problème, il se dit que la « porte est en dedans »** (certes) et qu’ici le GPS n’affiche qu’un profond désarroi.
J’ai la certitude que, sans l’aide de la Fée, avant de réussir à m’en échapper, j’aurais le temps d’écrire une thèse artistique, un nouveau dolmen à explorer : du mégalithisme préhistorique au cubisme mégalithique.
Votre dévoué F.
* L’Arbre d’Or, œuvre de François Davin installée en 1991.
** Henri Gillard – recteur de Tréhorenteuc |
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Heureusement que tu es revenu de ce val afin que nous puissions « sentir » ta musique. « Sentire », comme les italiens qui sentent la musique
Conne le lieu est symbolique, je ne suis pas vraiment sûr d’en être revenu !
Bonjour
C’est René RAYBAUD J’aimerais entrer en contactavec toi 0630 36 73 30