Vingt-deux Paysages Métempiriques

Métempiriques

Reading Time: 4 minutes Il y en avait sept… Dorénavant il y en a vingt-deux, vingt dieux ! 
Les nouvelles vous conduiront à Venise, Paestum, Florence, Sanary-sur-Mer , Puyloubier, Pompéi, Milazzo, en Lozére, Saint Petesbourg, La Seyne sur Mer, Pors Loubous et la londe des Maures…
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L’arrivée à Venise (suite) – Séquence minimaliste

- Venise - Frank César LOVISOLO - De l’apollinien au dionysiaque. Une série photographique, madrigalique, jouée de notes noires en silences blancs. Accoster dans cette ville lacustre demeure une abstraction temporelle où la raison s’isole des territoires concrets, cependant encore inconnus, pour en composer une représentation intellective minimaliste. Dès lors se dessinent les jalons d’un espace irrationnel où les silhouettes, les ombres et l’aquatique lumière d’un mois de janvier nous enseignent une autre réalité. «Le paline di Venezia» : Elles jalonnent, ici, les mesures d’un temps lissé par ce canal empreint d’Histoire et s’amusent à strier la perspective d'onirismes et la cadence effervescente de l’exploration. Ainsi débutera, avec ces transmutations d’épreuves photographiques paysagères, un voyage sériel, intemporel et lagunaire de Claudio Monteverdi à Luigi Nono le jeune sinuant depuis Vittore Carpaccio à Luigi Nono l’ancien. Plus avant, le paysage évoquera les rigoureuses perspectives de Giovanni Bellini et, dans un frimas imaginaire, sur une île, la sensualité, cristallière et polychrome, des sculptures e Luciano Gaspari.

Reading Time: 4 minutes De l’apollinien au dionysiaque.

Une série photographique, madrigalique, jouée de notes noires en silences blancs.

Accoster dans cette ville lacustre demeure une abstraction temporelle où la raison s’isole des territoires concrets, cependant encore inconnus, pour en composer une représentation intellective minimaliste.

Dès lors se dessinent les jalons d’un espace irrationnel où les silhouettes, les ombres et l’aquatique lumière d’un mois de janvier nous enseignent une autre réalité.

«Le paline di Venezia» :

Elles jalonnent, ici, les mesures d’un temps lissé par ce canal empreint d’Histoire et s’amusent à strier la perspective d’onirismes et la cadence effervescente de l’exploration.

Ainsi débutera, avec ces transmutations d’épreuves photographiques paysagères, un voyage sériel, intemporel et lagunaire de Claudio Monteverdi à Luigi Nono le jeune sinuant depuis Vittore Carpaccio à Luigi Nono l’ancien. Plus avant, le paysage évoquera les rigoureuses perspectives de Giovanni Bellini et, dans un frimas imaginaire, sur une île, la sensualité, cristallière et polychrome, des sculptures e Luciano Gaspari. Suite – Continue reading

L’arrivée à Venise – Série minimaliste

Venise

Reading Time: 4 minutes De l’apollinien au dionysiaque.
Une série photographique, madrigalique, jouée de notes noires en silences blancs.
Accoster dans cette ville lacustre demeure une abstraction temporelle où la raison s’isole des territoires concrets, cependant encore inconnus, pour en composer une représentation intellective minimaliste.
Dès lors se dessinent les jalons d’un espace irrationnel où les silhouettes, les ombres et l’aquatique lumière d’un mois de janvier nous enseignent une autre réalité.

«Le paline di Venezia» :

Elles jalonnent, ici, les mesures d’un temps lissé par ce canal empreint d’Histoire et s’amusent à strier la perspective d’onirismes et la cadence effervescente de l’exploration.
Ainsi débutera, avec ces transmutations d’épreuves photographiques paysagères, un voyage sériel, intemporel et lagunaire de Claudio Monteverdi à Luigi Nono le jeune sinuant depuis Vittore Carpaccio à Luigi Nono l’ancien. Plus avant, le paysage évoquera les rigoureuses perspectives de Giovanni Bellini et, dans un frimas imaginaire, sur une île, la sensualité, cristallière et polychrome, des sculptures e Luciano Gaspari. Suite – Continue reading

Ritratti a Venezia – Photographies canalisées

Venise

Reading Time: 6 minutes Difficile d’évoquer le « Street Art » à Venise. Peut-être devrait-on, ici, parler de « Channel Art » !
Tout aussi difficile : s’éloigner du tourisme de masse tant les gondoles sont devenues poliment asiatiques !
Tout autant ardu, il est préférable d’éviter la photographie purement touristique, l’œil est happé par cette profusion architecturale. Notamment au premier voyage il est difficile de s’en défaire. Mais, le doit-on vraiment ?
Il est si commode de s’égarer d’une venelle à l’autre, poursuivant l’onde d’un canal, le sillage d’un esquif, ou la silhouette d’un palais, que l’on négligerait, si l’on y prenait gare, les habitants…

Portraits… ( Quelques visiteurs ont dû, subrepticement, parmi eux, se glisser ) Suite – Continue reading