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![]() Le Jardin de Luce Au Salin de GiraudJ’ai eu beaucoup de chance… Cette visite, dans ce lieu hors du temps, n’aurait pas été possible sans la présence d’une amie. Avec Luce, nous ne nous étions pas revus depuis très longtemps. C’est là, et il est bon de le préciser, la force positive des réseaux sociaux. Une Façade de 7 métres ! Ce n’est pas sans raison que je donne cette mesure.
Il est question dans ce village d’une cité ouvrière qui s’apparente à un coron, pour une mine certes, mais à sel ouvert. Il y eut beaucoup de migrants qui virent travailler ici. Les conditions étaient difficiles.
Après un café salvateur, nous nous mîmes en route pour le territoire des flamants indubitablement roses !
Un autre paysage de Provence, il y en a tant. Un panorama où l’horizon se perd dans le sel, entre sel et terre…
Les ruines de l’ancien sémaphore sont les marques du temps, cette temporalité qui transforme ce paysage modelé par le vent, la mer et les hommes. Un Amer de pierres ocres sur le sel et le sable, posé là et qui se souvient de ce qui fut. Saisir les paysages dans un tel lieu est toujours déroutant… Il y a trop à voir, la concentration sur un sujet est difficile. Il me semble qu’une seconde visite sera nécessaire pour comprendre cet endroit. Là, je n’ai pu qu’en appréhender l’histoire. |
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Luce Monier : mon guide
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C’est en peu un choc… Un voyage interstellaire, spécial, sommes-nous toujours en Provence ou avons-nous atterri sur une autre planète ? Je jette un œil à notre véhicule, et me dis que malgré toute sa bonne volonté de bonbon roulant il me semble peu enclin aux sauts spatiaux temporels !



Nous roulons jusqu’aux eaux roses jouxtées de cristaux de sel. C’est un spectacle prodigieux, dû à l’algue Dunaliella Salina.











Superbe reportage avec musique pendant le défilement des photos que je vais partager à quelques amis
par contre n’étant ni sur instagram et face de bouc, pas accès à Luce Monier
au temps de ma pratique intensive de la planche à poil, je me tanquais avec le camping-car, plage napoléon, côté Rhône, assez en amont et traversais le rhône et arrivais pile à poil de l’autre côté à l’embouchure, entraîné par le courant
plage sans dégun côté salins de giraud sauf quelques pêcheurs avec camions tout terrain
je faisais du naturisme, tranquille, seul, me roulant dans les rouleaux, allais jusqu’à Beauduc parfois
bref, le temps des folies grossières
bel été
je veux bien être du prochain reportage
[carte]
Merci, Jean-Claude, d’avoir lu mon article et apprécié mes photos…
C’est un endroit magique…
Y a-t-il, vraiment, de grossières folies ?
Quant au prochain reportage, ce sera quand la lumière d’hiver aura pris toute son ampleur !