Douarnenez
à l’écoute :
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Tri Martolod |
Trois jeunes marins |
« Tri martolod yaouank… la la la… O voned da veajiñ, gê! Gant ‘n avel bet kaset… la la la… Betek an Douar Nevez, gê! E-kichen mein ar veilh… la la la… O deus mouilhet o eorioù, gê! Hag e-barzh ar veilh-se… la la la… E oa ur servijourez, gê! Hag e c’houlenn ganin… la la la… Pelec’h ‘n eus graet konesañs, gê! E Naoned er marc’had… la la la… Hor boa choazet ur walenn, gê |
Trois jeunes marins (tra la la, la la la la) Le vent les a poussé (tra la la, la la la la) A côté de la pierre du moulin (tra la la, la la la la) Et dans ce moulin (tra la la, la la la la) Où avons-nous fait connaissance, où avons-nous fait À Nantes au marché (tra la la, la la la la) |
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Une ancienne version, nommée An tri-ugent martolod (Les soixante marins) est recensée par Polig Monjarret dans sa collection d’airs de biniou bras et chantée par sa femme Zaïg sur un disque sorti chez Mouez Breiz, accompagnée de Gérard Pondaven à l’accordéon.
Le premier groupe à réinterpréter la chanson est An Namnediz (Tugdual Kalvez, Gwenola, Henri Landreau, Luc Thénaud) sur le disque Sevel E
Vouezh, premier groupe de folk-song breton au début des années 1960 (guitares, basse, banjo, violon, flûtes, guimbardes, harmonica), et le premier à utiliser un instrument électrifié. À la suite d’Alan Stivell mais avec un arrangement différent, les Tri Yann vont l’enregistrer sur leur premier disque, Tri Yann an Naoned (« Les trois Jeans de Nantes »), sorti fin 1972. |
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Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez Douarnenez
Monsieur, je voulais vous féliciter pour les photos de cette ville que je connais bien. Outre l’aspect technique irréprochable, il y a dans cette narration photographique quelque chose qui va droit au cœur comme si votre histoire se mêlait aux images. C’est étrange, beau et à la fois déroutant.
Bravo !
Monsieur, je vous remercie pour ce touchant commentaire. Je dois vous l’avouer mon histoire m’a suivi en Bretagne…
hello Frank,
tes photos sont superbes, je craque sur celles où les mâts se mêlent, les cordes s’entremêlent, il y a une vie incroyable, une vitalité débordante et heureuse, dans celle des brochettes de poissons, on croit voir des visages, c’est fantastique ! Je vais les envoyer à une amie qui revient du festival des vieilles charrues
L’une des photos m’évoque d’heureux souvenirs en plus !
que du bonheur
bise
Merci beaucoup, très honoré que les photographies te plaisent…
ça sent très beau !
Merci pour ton inestimable soutien…