De l’album : Subliminal Messages |
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Composition pour :–
Piano
Contrebasse
Fender Rhodes |
The Ultimate Chapter:–
Cela aurait dû être le dernier titre de l’album « Subliminal Messages » où s’entremêlent trois langues… Les Amants Du Bunker, Le Silence Des Sirènes, Distant Island Lady, No One’s Dancing, The Headlong Rush, Una Passeggiata Notturna A Napoli…
Hélas, une erreur de programmation due à l’hébergeur l’a positionné en avant-dernière place…
Quoi qu’il en soit, c’est éternellement triste la fin d’un projet. Spleenétique, parce qu’une aventure s’achève.
C’est la fin d’un voyage, un retour à cette réalité dont on a pu s’écarter durant l’écriture. Toujours le questionnement : quand adviendra enfin les prochaines pérégrinations et quelles contrées n’ai-je encore su explorer ?
L’appréhension du syndrome de la feuille blanche aura bientôt son vertige avec la crainte que toutes futures idées soient systématiquement piteuses.
Alors, comme pour une histoire d’amour, on hésite à clore le chapitre et, selon l’expression consacrée, tourner la page, fermer le livre et le ranger dans la bibliothèque des souvenirs.
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Jean de La Fontaine, dans son sixième livre, qui pensait en avoir terminé avec les fables, prit congé de ses lecteurs ainsi :
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Bornons ici cette carrière,
Les longs ouvrages me font peur ;
Loin d’épuiser une matière,
On n’en doit prendre que la fleur…
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Mais il n’en avait point fini… |
Quant à l’illustration :– J’ai été très honoré, quand Billel Aroufoune m’a demandé s’il lui était possible d’utiliser cette image pour la première de couverture de l’ouvrage collectif dont il est à l’origine. Publication à laquelle je participe avec Jean-Marc Avrilla, Sami Ben Amor, Vincent Berenger, Laurent Collet, Sam Cornu, Asma Djebbi, Michel Durampart, David Galli, Christian Gerini, Laurent Heiser, Alessandro Leiduan, Jean-Marc Navello, Franck Renucci, Olivier Sadoul, Patrick Sirot et Hervé Zénouda. – Les récits sont constitutifs de nos identités, ils circulent en société, à travers les individus. Quand l’un affirme sa singularité, l’autre brandit ce qui le fait appartenir au collectif. Pour étudier les récits, il faut alors regarder en direction de la racine. Au-delà des revendications identitaires, cet ouvrage présente trois volets parfois négligés du processus de la radicalité : l’écriture, la création et la communication. À partir de questions et sujets contemporains, les différents chapitres pris dans une dynamique interdisciplinaire abordent les manières de faire récit. Au fil des pages, le terrain se dévoile et permet de réfléchir à la part des récits dans nos vies du point de vue théorique, artistique et institutionnel. Vous trouverez plus de détails sur ce sujet en suivant ce lien : https://a-la-racine-du-recit-billel-aroufoune/ |