à l’écoute : Virga |
Sans barguigner, je ne pouvais rêver d’un meilleur nouveau étant donné que je ne joue jamais à cette activité que l’on annonce fort divertissante, mais soumise à des règles. Ce ludique outil demeure l’équivalent de l’endive en cuisine, je dirai poliment, profondément ennuyeux !
Cependant, c’est la première information qui m’est apparue quand j’ai utilisé le moteur de recherche Google. Il fait parfois preuve de facéties ! Feu mon père, prononçait Gogol, Gougol, Gougle et autres fariboles laissant supposer un Anglais chantant plutôt Provençal. Il est important de savoir que l’Oriel est une avancée en encorbellement aménagé sur un ou plusieurs niveaux d’une façade et que l’encorbellement désigne toutes les saillies qui portent à faux au nu d’un mur (ça, c’est fait !). On raconte qu’en Inde, les dames l’employaient pour regarder à l’extérieur de leur logement sans être vu. Il apparaîtrait que cette pratique ne se soit ni restreinte aux femmes ni à un seul pays. À Malte, ils sont vitrés donc peu propices à la discrétion. Certains, très anciens, paraissent ne plus être utilisés. Le flot incessant de véhicules bruyants a dû en limiter l’usage. On aimerait les rapporter toutes, espérant qu’elles nous conteront les chroniques de toutes ces familles qui les ont construites. Les photographies ont été prises sur l’île de Malte, principalement à La Valette qui porte le nom de son fondateur, le français Jean Parisot de La Valette. C’est tout pour aujourd’hui ! Oriels |