«Les Danseurs du Chemin des Dames» au Musée Jean Aicard: l’article dans Var-Matin

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Dans le cadre de l’exposition : Jean Aicard et la Grande Guerre
Var-Matin Article du 4 mars 2019 : les danseurs du chemin des dames

Var-Matin Article du 4 mars 2019 – Un grand Merci à Valérie Cordat

Musée Jean Aicard Je remercie La mairie de Toulon qui a permis cette projection dans ce lieu chargé d’histoire.

Colette Gluck, Remy Kertenian et Jean-Pascal Faucher de m’avoir fait confiance quant à l’œuvre présentée

Les Gens du Musée et l’équipe technique de Toulon qui m’ont beaucoup aidé.

Et je remercie Mr Jean Aicard de m’accueillir dans sa maison.

Je tiens aussi à citer Dominique Juan du magazine Côte qui m’a toujours soutenu dans mon travail et I. T. qui pour ce film prête sa voix à la poétesse Cécile Perrin.

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A propos du film je tiens à vous dire qu’il n’est pas historique, je ne suis pas historien.

C’est un hommage à ces pauvres gens pris dans une tourmente plus que souvent de très loin concernés.

L’histoire de ce film a commencé par l’obusite ce syndrome de guerre qui provoque une perte de contrôle psychique tant le traumatisme issu de la peur de la mort, des bruits de la mort, des odeurs de la mort et, certainement, la culpabilité, de la survivance était si présent.

Ce film est un cauchemar, une réminiscence du passé. Un cauchemar infini qui ne cesse de nous hanter tant les guerres nous font peur.

Quant aux danseurs, il y a ceux qui, au rythme des coups de feu, évitaient ou non les balles et les obus, ceux qui, raison perdue, dansaient, dans les hôpitaux, au tempo du traumatisme et les survivants qui, au fond de leurs lits, agitaient leurs bras leur jambes, croyants, dans leurs hallucinations nocturnes qu’il fallait encore fuir cette camarde qui depuis les poursuit, nous poursuit…


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4 Comments

  1. Félicitation mon cher Franck de Los Angeles …. bises et à plus tard…

  2. emmanuelle grangé

    Mes bravo et bonnes bises du 94 (non loin de Zanzibar)!

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