C’est quand même incroyable toute cette énergie dépensée par les cultes et leurs pulsions mortifères pour corrompre l’humanité. Les monothéismes, à ce jeu, sont indubitablement les plus désastreux. Certains arrivent à trouver de l’« amour » dans les religions. Vraisemblablement ne voient-ils que l’oripeau d’une « bonne religion » dont elles s’accoutrent quand elles flairent la perdition. C’est étonnant, quand on y pense, toutes les interprétations que l’on ait pu faire des « Écritures ». N’y a-t-il pas là matière au doute quant à leurs véracités ?
La cangue des religions et autres dogmes ne se desserre pas facilement. N’ayant rien à argumenter de tangible, les religions ont pour armes de persuasions, outre la promesse d’un paradis sexiste, les meurtres, tortures, menaces de géhenne éternelle, viols et autres dépravations sadiques dont l’étymologie, peu enviable, résulte d’un autre abject.
La torture pathologique existe au quotidien dans les familles et au travail où des « chéfaillons » en mal d’inquisition s’en donnent à cœur joie. Elle existe aussi au lycée, au collège, primaire et avant. C’est là que doit commencer l’éradication. Après, il sera trop tard…
Je suis persuadé que le respect des personnes, de toutes nationalités, est primordial, mais n’implique en aucun cas les croyances religieuses d’icelles, particulièrement quand elles mettent en péril l’humanité.
Notre société demeure confrontée au communautarisme, racisme, homophobie, xénophobie, fanatisme, ostracisme… Cette longue liste nous éloigne chaque jour des Lumières. Je n’oublierai ceux, innomés puisque nous les connaissons trop qui aimeraient bien troquer le terrorisme contre une dictature à peine voilée !
Nous pourrons résoudre ce casse-tête seulement par une éducation scrupuleusement laïque et républicaine laissant ensuite, grâce à la culture et au raisonnement induit, à chacun son libre arbitre. Hélas, il y aura toujours les cas impossibles relevant de la névrose religieuse entretenue par les vendeurs d’illusions pourvoyeurs d’un utopique au-delà.
On espère que le mouvement spontané de solidarité d’hier, pour beaucoup sincère, ne sera pas qu’un malheureux feu de paille (comme il en fut souvent) et que nos politiques au service des citoyens, las de se reluquer le nombril au mitan d’une panse bien trop nourrie d’illusions électorales, vont sérieusement œuvrer à l’urgence du sauvetage de la planète, du vivant, l’humanité et de la liberté.
Pour Charlie Hebdo, pour ces 17 victimes, il est plus que temps, sur le fond noir d’une mondialisation outrancière livrée à l’obscurantisme, de retrouver les Lumières.
Rallumons les Lumières !
J’opine, tu parles Charles. Allumons, mais pas des cierges !
Je veux, mon neveu !
je te suis
Cachalot !!!!