à l’écoute :
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Images d’art numérique | |
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Bigre ! Il est difficile de trouver un titre pour une série d’images numériques et la continuité d’une thématique. On fouille, fouine, arpente, ratisse, gratte tous les recoins des encyclopédies dites «en ligne», en pestant qu’on n’y arrivera jamais et en hissant le pitoyable pavillon du désarroi… Un fanion tout noir avec, au mitan, une grosse larme brodée, à se faire bidonner tous les corsaires, pirates et autres malintentionnés de la méditerranée ! Rigolez, bande de pendards… Il est toujours plus facile, bien que risqué, de piller son entourage que de créer ! L’affliction se transforme parfois en la colère d’un bambin n’ayant pu faire céder ses géniteurs quant à l’acquisition d’un redondant jouet, il y en a des myriades en plastique dans les supermarchés. Enfin, un matin, l’œil humide et le museau encore dans le café…
Miracle ! (au Vatican on appréciera, ils en manquent actuellement) !
Le Graal à portée d’article, le syntagme tant espéré : « Unités Paysagères » !Palsambleu, que c’est beau ! Là, je dois l’avouer : je me congratule et m’encense à n’en plus finir, si bien que je rajouterai, certes, encore un synonyme, mais ce serait abuser du dictionnaire approprié. Je ne sais plus quels chemins tortueux il me fallut parcourir pour parvenir à cette lumineuse locution, mais je dois féliciter Wikipédia de m’en avoir donné la concise définition ! Une unité paysagère représente un morceau de territoire au sein duquel le système paysager (ensemble des caractères de relief, d’hydrographie, d’occupation du sol, de formes d’habitat et de végétation) présente une homogénéité d’aspect et répond à la même logique. Bref, une nouvelle série aux paysages bouleversés de couleurs. … Je ne veux pas en conclure qu’un coloriste doit procéder par l’étude minutieuse des tons confondus dans un espace très limité. Car, en admettant que chaque molécule soit douée d’un ton particulier, il faudrait que la matière fût divisible à l’infini* ; et d’ailleurs, l’art n’étant qu’une abstraction et un sacrifice du détail à l’ensemble, il est important de s’occuper surtout des masses.
Mais je voulais prouver que, si le cas était possible, les tons, quelque nombreux qu’ils fussent, mais logiquement juxtaposés, se fondraient naturellement par la loi qui les régit.
Salon de 1846 – Charles Baudelaire, qui considère que les vrais artistes sont des « ouvriers émancipés », et non pas les produits des écoles. *En 1846, Baudelaire a une approche très intéressante de la physique. Si, quant à la matière, nous avons une littérature scientifique à portée de tous, même s’il s’agit de vulgarisation, il n’en est pas de même à son époque. Le texte complet, page suivante >>>> |
Il est vrai que l’art ne s’apprend pas à l’école bien au contraire. Je me suis vue refuser un tableau car il n’entrait pas dans les normes que nous enseignait le prof de dessin. Ce fut celui qu’on choisit pour orner le hall de l’école. J’étais bien trop jeune et timide pour en tirer gloire.
Si elle voyait ce que tu fais, elle serait horrifiée…
Trop nouveau et artistique pour elle…
Oui, mais c’était une autre époque.
Beaucoup de personnes n’avaient pas encore eu accès à l’art dit « contemporain ». Je n’aime pas trop ce terme car l’art est toujours contemporain d’une époque, l’art actuel serait plus juste.